C’est à Madrid, dans les années 60, que le docteur neuro-psychiatre Alfonso Caycedo, fonde une nouvelle discipline, la sophrologie.
Au fil de ses rencontres, de ses recherches et de ses voyages, Caycedo va structurer la sophrologie avec deux approches :
Progressivement, la sophrologie va sortir du cadre médical pour une approche pédagogique et de mieux-être.
Dans sa forme actuelle, la sophrologie caycédienne compte 12 degrés de Relaxation Dynamique et une cinquantaine de techniques spécifiques.
Tout ce que nous vivons est relié au corps. Le stress, les émotions, les pensées …
Nos différents états ont leurs empreintes physiques, dans l'instant, puis qui s'installent. Parfois agréables, souvent peu perceptibles, parfois douloureuses, et profondes. Les intentions au cours des pratiques : stimuler en conscience le corps, apprivoiser le mental, développer l'harmonie corps-esprit.
Le projet avec la sophrologie : ressentir, écouter les messages corporels, et ainsi prévenir, apprécier, ajuster et apaiser …
Pas de contact physique avec le praticien. Seule ma voix guide votre expérience.
Se mettre en pause est différent de ne rien faire. Vivre la détente tout en étant en présence, en conscience !
Il n’y a rien à atteindre dans l’instant. Apprendre à vivre simplement la pratique en lâchant les objectifs de réussite est une première forme de lâcher-prise !
Pas de thérapie psychologique. L’expérience favorise une meilleure conscience des sensations, des émotions et des phénomène mentaux, sans investiguer les causes, ni dresser des diagnostics.
Pas de dimension spirituelle. La sophrologie est une discipline laïque.
Pas de tenue spécifique. La tenue du jour, certes confortable, est appropriée.